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Ce livre s'articule autour de trois axes majeurs, inspirés de mes recherches, de mes analyses et de mes expériences personnelles :

  • L’enkisme contemporain : Une philosophie de vie fondée sur les enseignements d’ENKI, centrée sur des valeurs universelles comme le respect, l’amour, la quête de vérité et l’harmonie avec le vivant. À travers ces principes, ENKI s’affirme comme un guide intemporel pour affronter les défis du monde moderne.

  • La création de l’Homme : Plongez dans le rôle crucial des Anunnakis et d’ENKI dans l’histoire de l’humanité, où il apparaît non seulement comme un créateur, mais aussi comme un protecteur dévoué, défendant les Hommes face aux volontés plus autoritaires d’autres entités divines.

  • La trilogie cosmique : Issue d’une séance d’hypnose régressive que j’ai réalisée, cette série de récits explore les dimensions cachées de l’univers, les liens entre les dieux et les étoiles, et la place unique de l’Homme dans ce grand dessein. Ces révélations enrichissent notre compréhension des mythes et soulignent leur pertinence dans notre quête d’identité et de spiritualité.

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PROLOGUE

Aux origines des dieux et de la grande civilisation mésopotamienne

 

Imaginez un monde où les premiers hommes contemplent le ciel étoilé, se demandant quels mystères se cachent derrière les forces qui régissent la vie et l’univers. Ce monde, c’est celui de la Mésopotamie, le berceau des civilisations, niché entre les fleuves mythiques du Tigre et de l’Euphrate. Là, bien avant l’écriture de nos récits modernes, naquirent les premiers mythes, des histoires qui allaient non seulement structurer leur vision du monde, mais aussi influencer des millénaires de cultures à venir.

Parmi ces récits, il en est un qui se distingue, une figure qui brille par sa complexité et son humanité : Enki. Dieu des eaux douces, de la sagesse et du savoir, Enki est bien plus qu’un simple personnage mythologique. Il incarne un idéal, une aspiration à l’harmonie entre les forces de la nature et les besoins des hommes. Pour comprendre Enki, il faut plonger dans le cœur vibrant de la civilisation mésopotamienne, là où spiritualité et progrès se sont mêlés pour la première fois dans l’histoire.

Les Mésopotamiens vivaient dans un monde en perpétuel défi.

Inondations imprévisibles, terres arides, et climat rigoureux faisaient partie de leur quotidien. Pour survivre et prospérer, ils ont dû organiser leur société, inventer des outils, et surtout, donner un sens à ces forces naturelles incontrôlables. Ce sens, ils l’ont trouvé dans leurs dieux. Les divinités mésopotamiennes n’étaient pas des figures lointaines et parfaites : elles étaient puissantes mais imparfaites, capricieuses mais justes, et toujours liées aux éléments essentiels de la vie.

Enki, un dieu proche des hommes ...

Enki, connu aussi sous le nom d’Ea, se distingue par son rôle particulier dans ce panthéon complexe. Contrairement à certains dieux, qui pouvaient se montrer impitoyables ou indifférents, Enki est souvent représenté comme un bienfaiteur des hommes. C’est lui qui leur offre le savoir, les techniques agricoles, et même l’écriture, des outils fondamentaux pour bâtir une civilisation florissante. Mais au-delà de ces dons matériels, Enki apporte une autre richesse : l’espoir et la sagesse.

Il est souvent décrit comme un médiateur, un dieu qui veille à équilibrer les forces destructrices de ses pairs. Dans le mythe du Déluge mésopotamien, par exemple, c’est Enki qui intervient pour sauver l’humanité de la colère des dieux en avertissant un homme, Ziusudra, du danger imminent. À travers ce geste, Enki incarne une vision bienveillante, presque paternelle, de la divinité, un aspect qui résonne profondément avec notre quête humaine de protection et de sens.

 

La Mésopotamie, le berceau de l’humanité ...

La grandeur de la Mésopotamie ne réside pas seulement dans ses récits divins. C’est aussi là que furent inventées les premières grandes cités, comme Uruk et Babylone, qui devinrent des modèles de progrès social et technique. Le système juridique, les premières formes de démocratie participative, et des chefs-d'œuvre comme l’Épopée de Gilgamesh témoignent de leur ingéniosité.

Mais au cœur de cette civilisation, la spiritualité tenait une place centrale. Les temples, appelés ziggourats, dominaient les paysages urbains, et les rituels rythmaient la vie quotidienne. Chaque dieu avait son rôle à jouer dans cette grande symphonie cosmique, et Enki, en tant que maître des eaux et du savoir, symbolisait l’union entre les ressources naturelles et l’ingéniosité humaine.

Pourquoi Enki nous parle encore aujourd’hui ...

Aujourd’hui, à des milliers d’années de distance, pourquoi devrions-nous nous intéresser à Enki ? Parce qu’il incarne une vision intemporelle : celle d’un dieu proche des hommes, guidé par la sagesse et l’amour de ses créations. Enki nous rappelle que la connaissance et l’harmonie ne sont pas des luxes, mais des nécessités pour construire un monde durable et juste.

Dans notre époque marquée par des crises environnementales et spirituelles, revisiter Enki et la civilisation mésopotamienne, c’est puiser dans les racines mêmes de notre humanité. C’est se souvenir que, depuis toujours, nous avons cherché à comprendre notre place dans l’univers, à nous connecter aux forces qui nous dépassent et à trouver un équilibre entre progrès et respect de la vie.

Alors, que ce soit à travers les mythes anciens ou les explorations modernes, Enki demeure une figure qui nous inspire à chercher le savoir, à préserver l’harmonie, et à croire en notre capacité à créer un monde meilleur.

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